Janvier.
Une nouvelle année commence.
Et comme tous les renouveaux, voici l’occasion rêvée de prendre de bonnes résolutions, de se lancer des défis personnels qu’on aimerait bien vouloir relever sans jamais vraiment prendre le temps de s’y atteler.
Qui dit bonne résolution, dit d’abord un engagement envers soi-même… Mais dans les faits, il n’est pas rare que ces dernières soient formulées devant témoins, histoire de rendre le moment plus solennel !
Chez les étudiants, c’est souvent lors de moments festifs pour célébrer la fin de l’année que les discussions fusent à ce sujet, aidées parfois de cocktails et autres exhausteurs d’enthousiasme.
Du coup, la barre est souvent un peu haute… et le résultat souvent un peu décevant. Une étude anglaise menée il y a quelques années démontrait d’ailleurs que près de 9 résolutions de la nouvelle année sur 10 échouaient, ne restant ainsi qu’au stade de vœu pieux.
Ces bonnes résolutions, elles, ont tendance à beaucoup se ressembler d’un individu à un autre au sein d’un même pays, d’une même culture. Normal : elles sont aussi le résultat d’un mode de vie commun, d’habitudes partagées.
Ainsi, en France, chaque année, quelques bonnes résolutions remportent tous les suffrages. Sur le podium, on retrouve régulièrement :
Et oui, rien d’étonnant dans LE pays de la gastronomie, le seul où les gens sont capables de discuter des heures au sujet d’un menu, d’une recette, d’une expérience gustative. En France, manger va au-delà d’une réponse à un besoin physiologique, c’est un art-de-vivre… et aussi une source d’excès et d’abus ! Logique donc qu’une grande partie des français place la perte de poids sur le podium de leurs challenges personnels pour la nouvelle année.
Là aussi, le « manger-trop » n’est pas loin, bien qu’il s’agisse davantage de se « dé-sédentariser ».
En France, l’emploi est de plus en plus tertiaire, la population passe la plupart de son temps assise derrière un bureau et la mobilité est tellement facilitée (ascenseurs, réseaux de transports en commun, escalators, travelators et autres monstres mécaniques) que les occasions de bouger fondent comme neige au soleil…
Alors voilà, le recours au sport devient donc une priorité pour de nombreuses personnes. Un bel objet de bonne résolution. C’est d’ailleurs assez drôle de comparer le nombre de joggeurs arpentant les parcs urbains entre le mois de janvier… et le reste de l’année : le pic de sportifs saute littéralement aux yeux.
Toujours sur le podium des bonnes résolutions : passer plus de temps à s’occuper de soi-même, de son bien-être ou encore de celui de ses proches ou de sa famille.
Vous le savez bien, d’autant plus si vous cumulez études et job étudiant : la vie en France dans les grandes villes s’écoule à toute vitesse. Métro-boulot-dodo voire métro-école-boulot dodo : la rengaine laisse finalement peu de place et surtout peu d’énergie pour le reste.
C’est pourtant essentiel car l’être humain est aussi un être social : il s’épanouit dans les relations aux autres, dans l’accomplissement personnel par exemple la création artistique, dans la découverte de nouveaux endroits, de nouvelles personnes…
Bien conscients de tout cela, les français sont donc nombreux chaque fin d’année à viser une vie plus épanouissante en prenant plus de temps pour eux et pour leurs proches.
Vous avez peut-être vous-même pris de bonnes résolutions pour 2022. Peut-être ressemblent-elles aux grandes tendances françaises, peut-être sont-elles très différentes, pourquoi pas imprégnées de votre culture d’origine… Dans tous les cas, quelles que soient les vôtres, voici une bonne nouvelle pour terminer cet article. La volonté, et bien, ça se muscle, ça s’entraîne. Le web regorge d’articles truffés d’astuces pour vous aider à tenir vos engagements, vos promesses faites à vous-même.
Et chez FIGS Education, au rayon des bonnes résolutions, nous n’en prenons qu’une, et c’est la même chaque année : continuer de nous réinventer chaque jour pour améliorer encore d’avantage l’accompagnement que nous vous apportons.